Je sors d’une phase heureuse où j’ai compris que j’avais besoin de connaître ça, ça et ça, quitte à y passer mes soirées. Je ne dis pas que je vais m’amuser à vie mais j’ai bordé la jouissance du cercle du plaisir ce qui est, in fine, un bilan plus que raisonnable pour mon âge.
En attendant, je suis allée sur Face Book, bêtement et stupidement car je n’aime l’affaire que pour deux profils, allez mettons trois, qui me font découvrir mille merveilles. Mais voilà, là j’ai erré seule sans parachute et ce fut fatal.
Les gens, pourtant même certains que je croyais à peu près cortiqués, ne parlent que de leurs petites bêtises en pensant que ça amusera le monde. Je leur conseillerais plutôt un blog car finalement l’exercice a fait ses preuves.
Intervenez avec moi sinon, sinon on va perdre des hommes au combat.
…
Allez, pour me finir, j’ai relu quelques passages de la vie de Saint Augustin. Sacré Monique ! Voilà une femme de poigne que cette grande fresque se devait, un jour, d’évoquer.
Mes petits bonnets de nuit, bonne nuit et des baisers au front.
Votre robe de chambre.