L’addition de mes soustractions devrait me faire mener une vie paisible

Je sors d’une phase heureuse où j’ai compris que j’avais besoin de connaître ça, ça et ça, quitte à y passer mes soirées.  Je ne dis pas que je vais m’amuser à vie mais j’ai bordé la jouissance du cercle du plaisir ce qui est, in fine, un bilan plus que raisonnable pour mon âge.

En attendant, je suis allée sur Face Book, bêtement et stupidement car je n’aime l’affaire que pour deux profils, allez mettons trois, qui me font découvrir mille merveilles. Mais voilà, là j’ai erré seule sans parachute et ce fut fatal.

Les gens, pourtant même certains que je croyais à peu près cortiqués, ne parlent que de leurs petites bêtises en pensant que ça amusera le monde. Je leur conseillerais plutôt un blog car finalement l’exercice a fait ses preuves.

Intervenez avec moi sinon, sinon on va perdre des hommes au combat.

Allez, pour me finir, j’ai relu quelques passages de  la vie de Saint Augustin. Sacré Monique ! Voilà une femme de poigne que cette grande fresque se devait, un jour, d’évoquer.

Mes petits bonnets de nuit, bonne nuit et des baisers au front.

Votre robe de chambre.

Il exige : « Mille morsures de sa bouche rose ».

(source : B.L.)

Elle prit un air très inspiré pour se parler à elle même

« mais enfin, que veux-tu, Ariane », se demanda Ariane.

Ne trouvant aucune réponse claire, ni réconfort chez ses contemporains, elle gonfla ses joues comme un poisson rouge.

voilà, je crois que si je devais écrire un roman, cela commencerait comme cela.

Mais, laissons cet art aux écrivains, et allons mettre de la musique pour danser en petite culotte.

« J’ai eu tout faux, je n’ai rien compris »

Bob l’éponge m’a dit un truc pas con l’autre soir.

Fermer définitivement un blog avec un post dédié, c’est un peu se prendre au sérieux

C’est vrai, d’autant que ce n’était vraiment pas le but (le but étant bien sur de donner mon mail à un maximum de garçons)

 

Mais ? Qui lit encore 1234 ?

Bon, je viens de prendre ma décision.

(en fait non ça traînait, bien sur)

Même si l’impulsivité reste sur ma liste de course.

Je vais arrêter.

La vie avance toujours, et il faut rouler avec elle.

(de toutes les façons, à un moment ou un autre,  il serait devenu contre le code déontologique de ma profession)

Trois pirouettes, puis un mail, là, devant vos yeux, pour tous ceux qui m’ont, avec patience ET un dictionnaire d’orthographe et de conjugaison à la main, suivie.

Vous êtes des petits astres. vraiment.

david.ariane13@gmail.com

Je réponds aux mails.

à tous.

(même à mes spams, c’est vous dire)(c’est que aussi, à un moment j’ai vraiment cru à cette histoire de 43000 euros, au Congo, à mon nom)

Mais ? Qui lit encore Épicure ?

 

Je me demandais juste si il existait une question plus pénible que :

« à quoi tu penses ? »

(surtout posée par une disgracieuse aux yeux ronds)(en effet, comment le lui dire, à cette toupie ?)

« Le prix à payer pour cette curiosité fut un vif sentiment de solitude »

Bon, je faisais des expériences sur mes commentaires, mais finalement je peux tout aussi bien le faire ici.

ET je suis dans une humeur de printemps.

Je suis sage. Très sage. Ce qui ne me ressemble pas.

(Qu’est-ce que me mijote mon cortex ?)

Dans ces saintes conditions, ce soir, c’est donc une histoire et dans le noir.

Elle est devant lui et lui est devant elle, et ils vont s’embrasser.

Ils se font face et ils vont s’embrasser.

Au dernier moment,  elle s’arrête et lui tient ce discours :

Puisque, dit-elle, deux extrêmes se touchent, alors je vais partir dans l’autre sens, et faire le tour de la terre qui est ronde.

Alors, je t’embrasserai.

Elle part.

(c’est à partir de la 20ème seconde que cette chanson commence vraiment)

« Qui supporterait le rôle d’Andromaque joué par Thaïs ? » Oui hein ?

2011, on ne sait pas très bien ce que c’est mais il faut lever les épaules quand on en parle.

Mi boudeuse, mi sérieuse, je feins de mouvoir une lourde traîne.

La vérité de ce soir, c’est que ce blog est social.

Il vous laissera passer les fêtes de Noël en famille.

C’est quand même un peu plus sérieux que les 31 qui s’annoncent de toutes parts en France dans la débauche et l’excessivité.

Et bien quoi ? Ce n’est que 2011. Encore un peu sauvage, certes,  mais que vous aurez bien vite fait de civiliser.

Un usurpateur a titré son oeuvre avec son nom

Régulièrement, le grand organisateur vient me punir et me coupe de l’Internet mondial. J’en profite alors pour me baigner nue dans une source fraîche de lait d’ânesse qui me fait le teint rose.

Evidemment, depuis tout ce temps, de folles choses  se sont passées. J’y reviendrai.

Mais en attendant, hier soir, j’étais dans un lieu rempli de nos amis artistes contemporains qui ne contemplent rien.

Ai bloqué sur une jolie chose.

Il veut une preuve

Il la teste

Il crache dans son verre

Elle le boit

C’est bon, elle l’aime.

Bon, pour finir une question pour les éditions Atlas hors série Ethnologie :

Est-ce qu’une fille vraiment vraiment vulgaire peut réussir à faire rater téléfoot à un mec en survêt ?

J’aurais bien fait un caprice aujourd’hui, moi, comme manger de la neige ou regarder un bûcheron couper du bois.

Mais j’ai été obligée de me brimer et d’accepter le principe de réalité, la corde au cou.

(mots clés :  salle informatique, revue psychosomatique française, C. Dejours, P. Marty)

Enfin j’ai eu quelques réjouissances.

à 13h08

Ma soeur :

« Sinon, poule, tu as vu ce que Papa voulait pour Noël ?

Moi :

« Non,  bien sur »

(on est pas le 23, jour où je pars faire les courses)

« Un disque dur de sauvegarde !« 

Hurlement de rire.

(et moi, plus sombre tout d’un coup, tout en métonymie : « c’est donc ça vieillir ? »)

Puis immédiatement après, j’ai proposé qu’on offre à ma mère une housse pour son ipod (anniversaire 2009)(malin, ces tiroirs pour la commode)

Bref, à ce rythme, je sens que Noël, ça va très bien se passer.
Sinon, nous sommes jeudi soir. 20h47.
(JEUDI SOIR, 20H47 QUOI !)
Normalement, je devrais être en train de boire des tas des coktails dans le cockpit. Mais j’ai dit NON à tous et à tout pour travailler. Une belle attitude de renoncement qui signe, je crois,  le deuil de mes illusions sur la jeunesse.
« Fagots de mes 12 ans, où crépitez-vous maintenant ? »

Je ne veux pas t’avoir, mais comme je t’aime, je veux t’être.

A la fac, il y a un garçon qui, quand il me croise, me dit toujours bonjour en me souriant, avec un air- et c’est cela qui m’interroge le plus, de celui qui sait que je sais qu’il sait que je sais qu’il est un homme qui aime les femmes qui aiment les hommes à la voix grave.

(et de fait)

Pourtant je ne le connais pas, ou plutôt si, il me dit vagounettement quelque chose. Ou alors c’est son physique un peu banal ?
Je ne comprends pas bien. Dans le doute, je répondais d’un petit sourire. 15 ans d’éducation chez les bonnes soeurs, ça laisse des traces.

Surtout, je m’interrogeais : « On s’est pécho un soir sur la plage en 4ème, oder ? »

Et puis, non, du plus loin que j’y refouille. Sans compter que je ne suis pas trop garçon étudiant en psycho de Paris 5 (de 22 ans qui plus est). Donc, je pense que le fait de n’avoir mis que des jupes et des robes depuis le 5 septembre, doit en partie expliquer ce bel élan avenant.

(enfin si un jour, j’avais mis un leggings mais de loin on croyait que j’étais en collants)(bel esprit de Noel)

ah, sinon, cette nuit, j’ai eu une idée diabolique.
Qu’en pense Dieu ?

J’ai décidé de caresser longuement un cercle toute une nuit pourqu’il devienne vicieux.

On va voir.

Car, je refuse de faire comme tout ceux qui suivent leurs idées fixes et qui sont tout surpris de ne pas avancer.

C’est N-O-N

Voilà, pas grand chose d’autre. Je suis coupée de mes mails encore, je viens de finir un oral d’anglais, j’ai envie d’un Bounty, et j’ai eu une idée de film avec comme héroïne la fille que j’ai croisée dans le métro hier qui mangeait un sandwich au thon avec son mec à côté qui lisait un bouquin de developpement personnel de management. Une vision quasi 2012-apocalyptique, comme on le voit.

(mais je bouge encore)

Mes agneaux, je vous embrasse le col.

Votre petite mignonne.

PPDM (Petit Pot De Miel), 2010

source : P*

De l’usage transitif du verbe suicider

Passer le début soirée avec une certaine radio pornographique française et Antoine Artaud, ne constitue pas forcément une bonne chose pour un jeudi soir.

« Oui, mais c‘est bon pour tes études, petite chipie« , me suis-je dit.

Car il y a à peine 4 mois, vous m’auriez trouvée au Rosa Bonheur (brrrrr) en train de commander une mauvaise boisson.  Mais dans ma stratégie personnelle de m’extraire de moi-même, j’en suis là ce soir.

(bon)

Je crois que je vais plutôt aller rejouer avec mes vieilles barbites.

Je vérifie le pied en comptant les orteils

Alors pour la bonne préhension de ce post, je vous conseille de regarder ce petit film. Ça dure 7min50. C’est pas énorme vu les pauses que vous vous prenez depuis 39-45.

Vous pouvez bien sur toujours décider de continuer à rouler votre mule et de ne rien en faire.

Bon, vous voyez, mais c’est bon jusqu’à la dernière goutte : il y a du SUSPENS, des RUPTURES et des FILLES QUI COURENT NUES.

ALors voilà l’idée, cet été, je voudrais bien faire une sorte de petit film like

(qui viendra de nulle part comme l’aigle noir)

Pour la réal, je cherche un mec qui sait faire des sous-titres et en terme de distribution, je voudrais bien des garçons nés vers les années 70 (+/- 5  empans annuels) qui sont ok pour une scène de nu sur un camion citerne.

Sinon, moi aussi je me lave, j’aime les bonbons, je sais cuisiner, je n’ai peur de rien, j’ai peur de tout, je suis travailleuse.

Et j’ai vu Emmanuelle ET Soleil vert.

(et on ne s’étonnera pas vu l’infinie adaptabilité de mon esprit d’à-propos)

Citation des sources : c’est grâce à mon ami G, qui lui aussi veut « faire de sa vie une nouvelle vague désynchronisée »…tandis que mon pote dupon nous a déclaré « qu’ils feraient mieux de se la coller tous les 3 »

Les cahiers du cinéma sont partagés.


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